Réussir des examens sélectifs est accessible à tous. Vraiment. Il suffit d’y croire ! Facile à dire, mais ça n’en est pas moins vrai.
Arrêter de se trouver des excuses
Un des grands freins vous empêchant de réussir vos objectifs, c’est cette manie, qui touche de très nombreux étudiants, et qui consiste à se trouver des excuses. Arrêtez de parler de vos limites personnelles, de type : « j’ai toujours été nul en math », « c’est trop tard, je ne rattraperai jamais mon retard », « c’est trop dur, je n’y arriverai jamais » et commencez déjà à vous projeter vers la réussite comme s’il s’agissait d’une certitude ! Cette confiance en vous sera primordiale !
Dans la plupart des cas, nous surestimons les capacités des autres tout en sous-estimant les nôtres. Résultat : nous nous dévaluons progressivement et nous perdons confiance en ce que nous pouvons vraiment faire.
Rappelez-vous : la clé est la confiance en soi !
« 100% des choses qu’on ne tente pas échouent ». – Wayne Gretzk
Connaître ses acquis
S’il est vrai que vous devez connaître vos propres limites, n’ignorez pas pour autant vos qualités.
Pour découvrir vos forces, interrogez vos proches et même vos professeurs, et construisez la liste de vos 5 meilleurs qualités (mémoire, compréhension, matières fortes, etc…)
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Pour la petite histoire, quand j’étais en première année de médecine, quelques-uns me trouvaient prétentieux de dire que je passerai primant alors que je n’avais qu’un petit bac S sans mention, et eux une mention TB. Une voisine d’amphi m’a même laissé un jour un post-it avec marqué ‘’on en reparle dans 6 mois’’. Ce post-it, je l’ai toujours avec moi 5 ans après, car je trouve que c’est un bon symbole de ma première année…
6 mois plus tard, l’auteure du post-it devait se réorienter après deux P1, et moi j’étais en 2ème année.
Ne jamais partir déjà vaincu
Des milliers d’étudiants ont réussi avant vous, et des milliers y arriveront après vous. Alors pourquoi ça ne serait pas votre tour cette année ?
Vous avez de la chance en plus, ces années difficiles tombent dans les plus belles années de votre vie.
Donc prenez vos responsabilités, ne vous cherchez pas d’excuses, sortez de votre zone de confort, demandez-vous comment vous pourriez agir autrement pour progresser, soyez à l’écoute des idées des autres, posez-leur les bonnes questions, et surtout, bannissez le mot « impossible » de votre vocabulaire !
« Dans vingt ans vous serez plus déçus par les choses que vous n’avez pas faites, que par celles que vous avez faites. Alors, sortez des sentiers battus. Mettez les voiles. Explorez. Rêvez. Découvrez. » – Mark Twain
Vous verrez, vous passerez forcement par des moments où vous aurez envie de tout plaquer.
Ce sont des moments très durs, où vous perdrez de vue vos rêves et vos objectifs (j’en ai fait l’expérience) mais c’est normal car la motivation fonctionne ainsi.
C’est donc dans ces moment-là qu’il ne faut rien lâcher et qu’il faut persévérer
Je suis d’accord avec vous, la médecine c’est la galère et je sais que vous faites des sacrifices, mais sachez que beaucoup d’étudiants y sont passés avant vous et que beaucoup d’autres y passeront après, donc prenez du recul là-dessus.
Savoir se projeter
Pour mener un projet à bien, il est important de savoir exactement où l’on veut aller. C’est essentiel pour la motivation. Pour se mettre en condition, on peut s’imaginer réussir. On se visualise en ayant atteint son but et on essaye de ressentir les émotions une fois l’objectif atteint. Grâce à cet exercice de projection, on peut avoir une idée des situations concrètes que l’on pourra vivre et les effets que ce nouvel état aura sur nous. Par exemple, on peut s’imaginer passer primant en 2ème année de médecine, en dentaire ou sage-femme, et d’un coup, on ressent de la fierté, de la joie et de l’envie… la machine est lancée !
Tristan